Seconde main,
premiers amours.
Seconde main,
premiers amours.
Les bisettes ne sont plus tellement d’actualité depuis qu’un pangolin s’est amouraché d’une chauve-souris, ou l’inverse, ou quelque chose comme ça. Mais que voulez-vous, nous aimons ça plus fort que tout. Entendre claquer nos deux joues plutôt que nos deux coudes. S’entendre dire : “Coucou, ça va ? Voilà ce que j’ai pour toi. Ce que mes enfants ne mettent plus, que j’aurais aimé qu’ils portent toujours. Ce petit haut, ce pantalon, cette robe si chouettes, d’une qualité irréprochable pour lesquels je perdrais bien vingt-cinq années, histoire de rentrer dedans, mais impossible, alors les voilà pour les tiens.”
Comme neufs. À petit prix. Avec moins d’émission de CO2, puisqu’on se partage leur production à deux, à trois, si tu les revends plus tard. Car ce sont des matières faites pour l’éternité tout entière. De la seconde main, mais d’éternels premiers amours.
Bisettes. Seconde main, premiers amours.
Qui est Bisettes ?
Bisettes avec s, donc il fallait bien une team plurielle pour s’en faire plein (le moment venu)
Un gars, une fille. Laurette et Michael.
Laurette
Laurette est maman de deux petits gars. Vous l’aurez compris, son nom ne rime pas pour rien avec Bisettes. C’est elle la porteuse du projet. Styliste spécialisée en mode enfantine depuis 12 années, elle souhaitait mettre la seconde main au coeur de son aventure entrepreneuriale avec comme ambition, oeuvrer pour une mode plus respectueuse. Elle décide qu’« assembler » la mode c’est aussi amusant que la « dessiner ». Que faire quelque chose de beau et désirable avec des ressources déjà produites, c’est son avenir à elle. L’avenir tout court.
Michael
Michael est papa de deux petits gars, les mêmes que Laurette. Comprenez ce que vous voulez. C’est le véritable couteau suisse du projet puisque dans une vie parallèle il est directeur artistique digital et dans une autre, il est photographe. C’est lui qui met des couleurs aux joues de Bisettes. Qui rend si chouette l’achat en seconde main. Il est très concerné par l’écologie, mais c’est du bon sens aujourd’hui. N’empêche, Michael, dit Mike, dit Miky, dit Mitch, s’est lancé dans la seconde main quand d’autres achètent encore un pick-up pour aller chercher leur baguette. Pouet pouet.